«  AUTOFICTIONS :
réinventer l’image à partir de la réalité »
Proposé et dirigé par Sébastien CHOQUE
Proposition 1 : Mon portrait n’est pas moi, Histoire en raccourci du portrait de famille :
Proposition 2 : Eclairage et visage, approche du portrait créatif par les lumières
Quelle différence sépare un instantané en famille ou entre amis et un portrait qui revendique une portée culturelle ou artistique ? « Cheese, doigts en « V »... Si dans la vie courante, nous adoptons ces petits tics photographiques sensés rendre l’image plus intéressante, cette série bannit le sourire en tant que masque pour tenter la jonction entre singularité et universalité du visage . L’architecture des lumières, les rendus du développement numérique  suffisent à créer plusieurs personnalités de nous-mêmes, plusieurs lectures du spectateur.
Proposition 3 : Fusions, une étrange familiarité
Nous allons inventer de nouveaux visages à partir du mélange de plusieurs portraits, soit par des symétrie à partir d’un même visages, soit par la combinaison de plusieurs portraits différents. Familiarité et étrangeté se combinent. Tels des Frankeinstein inoffensifs, ces créatures artificielles interrogent l’Humain. En nous destabilisant, elles nous aident à réfléchir sur la conception moderne de l’Etre.
Proposition 4 : L’Institut
Ingrédients : Prendre des objets présents (mais oubliés ?) dans l’Ecole : anciennes collections de sciences naturelles, minéraux et tranches de fruits ... Avoir une idée derrière la tête et la coucher sur le papier puis la découper en bandelettes. Associer les matériaux obtenus à des lieux de l’Ecole plutôt raisonnables. Enfourner dans Photoshop. Vous obtenez de petits mondes qui viennent hanter la réalité.
« VRU Voix, Regards Urbains :     associer l’image à l’écriture »  
Proposé et dirigé par Sébastien ARFOUILLOUX
Proposition 1 : Jeu de « qu’est-ce que c’est ? »
Image mystérieuse, image mutique, image obsessionnelle. Objet ayant perdu toute identité en même temps que sa troisième dimension. Forme sans fond ? Lui redonner une existence, peut-être... Toute image peut se raconter à l’infini. Chercher la tension qui l’habite, prenez un stylo et ... Inventez-lui une identité
Proposition 2 : Ce jour-là ... Jeu de « Que raconte l’image ? »
Choisissons des images fameuses : ici, il s’agit des tirages de trois photographes célèbres mais vous pouvez aussi jouer avec des tableaux de maîtres. Tentez de réinventer par l’écrit la situation vécue au moment de la prise de vue ou de la peinture.
Le jeu peut servir de base à un travail plus large sur la mémoire, le souvenir, l’analyse de paysages ou ...
Proposition 3 : Les Pas dans les Pas, l’itinéraire précis dans un lieu
Quelle est l’influence d’un lieu sur notre écriture ? Investir un quartier, faire parler les espaces et les personnes en juxtaposant  textes et photographies. Mais pas seulement  : La diversité des choix d’auteurs et des écrits vient renforcer le télescopage des réalités proposées. De même, le post-traitement des images subtilement inspiré de la Bande dessinée, peut nous téléporter vers la fiction par un petit rien d’étonnement. La prise de vues a engagé les participantes des deux ateliers car la « Photographie de rue » est un genre difficile techniquement et relationnellement. En contrepartie, elle offre des regards intéressants sur l’être social que nous sommes.
Proposition 4 : L’Autoroute
Lorsque l’écrit est collectivement redistribué et ré-exploité pour fournir un nouvel écrit : partage de texte, distribution d’expressions extraites des lecture ... Ici nous avons adopté deux personnages à décliner : Pitaya et Tinou.

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